La controverse du vol de sable
Bienvenue sur notre site dédié à la controverse du vol de sable. Dans ce paragraphe d'introduction, nous allons présenter brièvement les principaux aspects de cette problématique.
Bienvenue sur notre site dédié à la controverse du vol de sable. Dans ce paragraphe d'introduction, nous allons présenter brièvement les principaux aspects de cette problématique.
Le sable est la deuxième ressource la plus utilisée après l’eau avec 40 milliards de tonnes utilisés par année dans le monde, en effet, cette ressource sert notamment lors de la production du verre en cuisant le sable, du béton, ou encore de la silice/silicium qui elle permet de créer des pneus, des microprocesseurs ou encore du dentifrice.
Dû à un fort impact écologique, des lois ont été mises en place pour limiter l’extraction de sable mais la demande est si forte que des groupes d’individus s'organisent pour extraire du sable malgré les interdictions : ce sont les mafias du sable. Les entreprises ayant toujours besoin de sable vont se tourner vers ces nouvelles alternatives.
Ces importantes récoltes ont lieu dans différents espaces comme des carrières, des plages ou encore dans le lit des rivières. Avec l’augmentation de la demande du sable, la récolte de celui-ci est de plus en plus importante.
Suite à ces demandes, un problème se pose au niveau écologique puisque la récolte du sable en grande quantité, aussi bien légale que illégale, vient à dépasser la limite de production naturelle de sable par an. Ce qui fait que cette récolte créer de terribles conséquences. On voit de moins en moins de plage dû à l’érosion des côtes de plus l’extraction de sable vient aussi détruire l’environnement et donc créer également des conséquences dans la biodiversité qui va venir toucher les poissons, les crustacés et également les insectes.
Deux grandes opinions ont émergé car le sable étant une ressource importante dans la vie quotidienne d’un côté les défenseurs de la nature et des ressources naturelles seront d’avis de diminuer l’extraction de sable alors qu’au contraire les entreprise utilisant du sable en grande quantité comme les entreprise de Bâtiment et de travaux public vont elles être de l’avis contraire donc d’extraire un maximum de sable afin de développer leurs entreprise. Une controverse s'est donc créée à partir de ses deux opinions qu’on a nommé “Le vol de sable”.
On peut considérer ce sujet comme une controverse car le sable est une ressource importante dans la vie quotidienne mais la pratique du « vol de sable » met en danger les zones concernés.
D’après le CNRL le sable est une “roche sédimentaire meuble, constituée de petits fragments provenant de la désagrégation de roches de nature diverse (notamment silice)”. L’homme exploite le sable, soit à la main de façon illégale comme en Inde ou au Cap-vert soit de façon légale avec des dragueurs dans des eaux peu profondes. C’est une généralité, il y a aussi certains dragueurs qui agissent de façon illégale.
L’impact écologique est multiple: destruction de l'écosystème, disparition de certaines espèces. Le sable est une barrière naturelle qui bloque les vagues et protège les côtes françaises donc l’extraction de sable augmente l’érosion des côtes notamment françaises.
L'image ci-dessous montre les échanges sédimentaires. Il y a des échanges qui sont naturels et égaux (autant de sable qui arrive que de sable qui disparaît). On sait que le cycle du sable est très long. En effet, le sable met beaucoup de temps à se former et comme on en a de plus en plus besoin, le sable est une ressource de plus en plus rare.
Selon le site Aquaportail, “le dragage est une activité d'excavation et une opération habituellement effectuée au moins en partie sous l'eau, dans les mers peu profondes ou des zones d'eau douce, dans le but de ramasser des sédiments du fond pour les jeter dans un endroit différent. Cette technique est souvent utilisée pour garder les voies navigables en ôtant une couche du lit de la rivière.” On appelle un dragueur le bateau qui extrait le sable et les sédiments, il peut extraire jusqu’à 612 000 tonnes de sable par jour.
Le silicium est un élément chimique que l’on crée lors d’un processus de purification du sable de plusieurs étapes qui vient transformé le sable en silicium qui va lui être utilisé dans la fabrications de différents matériaux notamment car celui-ci est semi-conducteur c’est à dire qu’il peut laisser passer le courant électrique ou le stopper. Pour ce faire on extrait du sable (de silice) que l’on vient purifier à l'aide de la méthode de carboréduction (carbothermique) une méthode de réduction des métaux qui permet d'extraire les métaux de leurs oxydes en présence de charbon à haute température. Ceci permet d'obtenir le silicium sous forme liquide, de pureté 98%.
Il y a dans cette controverse des enjeux à la fois nationaux et internationaux. Au niveau national, les défenseurs de la nature cherchent à protéger l'environnement en limitant l'extraction excessive de sable, tandis que les partisans d'une gestion durable des ressources prônent des politiques responsables. Les pêcheurs vont quant à eux chercher à protéger les plages et les côtes.
Au niveau international, les enjeux se concentrent sur les effets du changement climatique, ainsi que sur le commerce mondial du sable et les inégalités qu'il peut engendrer. En même temps, les autorités doivent lutter contre les activités illégales et les mafias du sable pour préserver l'équilibre écologique et économique.
C’est pourquoi une coordination internationale est nécessaire pour empêcher les conséquences néfastes de l'extraction de sable et promouvoir un commerce équitable afin de ne pas dépasser les limites de développement durable fixées par la communauté internationale.
La controverse du vol de sable implique une multitude d'acteurs aux niveaux d'implication variés. Ces acteurs peuvent être distingués en fonction de leur degré d'activité, qu'il soit actif ou passif, ainsi que de leur rôle dans cette controverse. Nous allons examiner les différents acteurs impliqués dans cette controverse et leur place dans le débat sur le vol de sable.
En tant que fonctionnaire du secteur public, leur mission consiste à faire appliquer les lois et à lutter contre le trafic de sable au Cap-Vert et dans le Tamil Nadu. Bien que leur niveau d'engagement soit moyen, leur rôle de maintien de l'ordre est essentiel pour faire respecter l'interdiction du trafic de sable. Leur présence est également importante car elle exerce une pression dissuasive sur les trafiquants et contribue directement à la lutte contre le vol de sable.
et particulièrement les femmes du Cap-Vert et les trafiquants indiens collectent du sable dans le but de réaliser des profits, mais ils sont également confrontés à la police cap-verdienne qui cherche à stopper le vol de sable. D'autre part, ils sont également en contact avec la mafia du sable qui exporte cette ressource vers d'autres acteurs qui en ont besoin, en échange d'un bénéfice financier. Les trafiquants sur internet, quant à eux, cherchent à vendre illégalement du sable afin de réaliser des profits. Cette exportation de sable commence en Inde pour se diriger vers d'autres pays, y compris la France.
s’attache au gouvernement français et a pour mission de promouvoir et de coordonner les politiques publiques en matière de protection de l'environnement, de gestion des ressources naturelles, de lutte contre le changement climatique, de transition énergétique, de préservation de la biodiversité. Il est chargé de concevoir et de mettre en œuvre des stratégies et des plans d'action pour atteindre ces objectifs, en collaboration avec d'autres ministères, les collectivités territoriales, les partenaires sociaux et les parties prenantes concernées. Le 17 août 2015, La loi n°2015-992 est votée, relative à la transition énergétique pour la croissance verte, elle comporte plusieurs mesures pour lutter contre le vol de sable, notamment en interdisant l'extraction de sable en mer à des fins non autorisées et en renforçant les sanctions contre les contrevenants.
est une institution de recherche publique, son rôle est de contribuer à la connaissance et à la gestion durable des océans et de leurs ressources. Dans le cadre de la controverse, Ifremer fournit une expertise scientifique pour évaluer les impacts environnementaux de l'extraction de sable en mer et de formuler des recommandations pour une exploitation responsable de cette ressource. IFREMER est engagé de manière active dans cette controverse en raison de son expertise scientifique et de sa mission de protection de l'environnement marin. L'institut mène des études approfondies pour évaluer les conséquences environnementales de l'extraction de sable en mer, en se concentrant sur les impacts sur les écosystèmes marins, la biodiversité et les habitats des espèces marines. En travaillant en collaboration avec d'autres acteurs de la controverse, tels que les autorités locales, les organisations de défense de l'environnement et les entreprises extractives, Ifremer vise à promouvoir une gestion durable des ressources marines et à minimiser les impacts négatifs sur l'environnement et les communautés locales.
est une coalition de 31 associations qui joue un rôle actif dans la controverse du vol de sable et prend position contre ce phénomène. Cette coalition s'engage fortement dans cette problématique car elle subit directement les conséquences négatives du vol de sable. Les membres de cette coalition considèrent que le dossier d'enquête publique présenté par la Compagnie armoricaine de navigation (CAN) est incomplet en raison des impacts économiques et environnementaux que l'extraction de sable peut avoir au niveau local. En 2012, le Peuple des Dunes de Trégor s'est ainsi opposé directement à la CAN.
est située sur la côte nord de la Bretagne et dispose de plusieurs plages qui sont régulièrement affectées par l'érosion côtière, et l'extraction de sable peut avoir un impact direct sur ce phénomène. Plougasnou s'oppose donc à l'extraction de sable en plaidant en faveur de la préservation de l'environnement. Les autorités locales ont d'ailleurs pris des mesures pour protéger les plages et les dunes, en particulier en adoptant des plans de gestion côtière pour limiter l'érosion. Cependant, Plougasnou n'agit pas seule dans cette controverse. La commune fait partie d'un groupe plus large de parties prenantes, y compris des associations locales et des organisations de protection de l'environnement tel que
qui est une association se battant contre l’extraction de sable et les destructions de fonds marins par cette activité au départ illégale dans la région. Mais du au récente autorisation par le gouvernement, l’association doit redoubler d’efforts pour faire entendre leurs voix et mettre un terme à l’exploitation de sable. Elle se liera plus tard au Peuple des Dunes de Trégor pour lutter contre la firme CAN et son exploitation minière.
est une entreprise française spécialisée dans l'extraction de sable marin en Bretagne et son activité peut avoir des conséquences économiques et environnementales importantes sur les zones côtières où elle opère. La CAN a été fondée en 1958 et a commencé à exploiter les gisements de sable marin en 1965. Elle est actuellement la seule entreprise autorisée à extraire du sable en Bretagne, une activité qui a suscité des protestations de la part des associations environnementales et des communautés locales. En 2012, elle a été confrontée à une forte opposition de la part du Peuple des Dunes de Trégor qui s'opposait à l'extraction de sable sur la plage de Lannion en Bretagne. L'enquête publique avait été jugée incomplète par les opposants compte tenu des conséquences économiques et écologiques potentielles de l'extraction de sable.
est une association engagée dans la défense de l'environnement et du patrimoine de la commune de Plestin-les-Grèves, située dans le département des Côtes-d'Armor en Bretagne, France. En tant qu'association de protection de l'environnement, son objectif est de préserver la biodiversité locale et de minimiser l'impact de l'extraction de sable sur l'écosystème marin. Plestin Environnement s'oppose donc à l'entreprise CAN, qui souhaite extraire du sable dans la Baie de Lannion. Son opposition est basée sur plusieurs arguments, notamment la destruction de l'habitat marin et des écosystèmes, ainsi que les conséquences potentielles pour les activités économiques locales, telles que la pêche et le tourisme.
est une organisation professionnelle française qui représente les producteurs de granulats, qui sont des matériaux minéraux utilisés pour la construction. Dans la controverse du sable, l'UNPG est donc un acteur clé car l'extraction de granulats est souvent liée à celle de sable. En tant qu'organisation professionnelle, l'UNPG joue un rôle actif dans la controverse, en défendant les intérêts des différentes entreprises productrices de granulats. Cependant, son rôle est passif car elle ne mène pas directement les opérations d'extraction et n'a pas de lien direct avec les problèmes environnementaux liés à l'extraction de sable. L'UNPG travaille aussi avec des associations environnementales pour garantir que l'extraction de granulats et de sable se fait dans le respect de l'environnement et de la réglementation. Cependant, elle est souvent en désaccord avec les associations environnementales sur la quantité et la localisation des zones d'extraction autorisées.
est une entreprise de construction et de concession d'infrastructures française et est impliquée dans l'exploitation de carrières de sable pour la construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. En 2012, des associations environnementales ont saisi la justice pour stopper les travaux, arguant que l'extraction de sable menaçait l'environnement. Vinci a nié ces accusations, affirmant que toutes les autorisations nécessaires avaient été obtenues et que les carrières étaient exploitées de manière responsable.
est une entreprise suisse de ciment et de béton qui exploite une carrière de sable marin au large des côtes de la Bretagne racheter par une autre entreprise . C'est une entreprise privée active dans le secteur de la construction et de la production de matériaux de construction, tels que le ciment et le béton. La firme étant extrait directement du sable marin pour produire ses matériaux de construction. En effet, l'entreprise exploite une carrière de sable marin au large des côtes de la Bretagne. La filière se fera d'ailleurs racheter des sites de production par l'entreprise
qui est une entreprise française spécialisée dans la construction et l'entretien des infrastructures de transport. Sur son site, l'entreprise dit entreprendre des démarches écologiques pour réguler son impact vis à vis de sa production. de son coté, Holcim s'est aussi fait racheter par un autre bétonnier français, Lafarge, qui de son coté admets avoir financés des groupes armés en Syrie et s’est positionné un temps pour la construction du «mur Trump»
De l'époque où il était encore Premier Ministre a défendu la politique gouvernementale visant à développer l'extraction de sable pour répondre aux besoins de l'industrie de la construction. D'un autre coté il a exprimé des préoccupations environnementales et s'est engagé à protéger les zones sensibles. Son degré d'engagement dans la controverse est également sujet à débat. Certaines articles l'accusaient alors de ne pas agir assez rapidement pour limiter l'extraction de sable et protéger l'environnement. Il acceptera par ailleurs le projet de la CAN dans la baie de Lannion avant de revenir sur sa décision à peine un an après.
Samin est une entreprise spécialisée dans l’extraction, le traitement, la préparation et commercialisation de sables siliceux et minéraux industriels. et contribue à la dégradation de l'environnement côtier et à la perte d'habitat pour la faune et la flore marines. Par exemple, il est possible de retrouver un dossier de demande de dérogation à la législation sur les espèces protégées datant de 2016 dans le but d'exploiter les granulats des communes de Marcheprime et Mios.
est une journaliste indienne de Chennai qui a gagné en notoriété pour son travail sur les problématiques environnementales et sociales liées à l'extraction de sable en Inde particulièrement envers l'entreprise V.V Minéral. Elle est une voix critique envers les entreprises impliquées dans l'extraction de sable, ainsi que les autorités locales et nationales qui soutiennent cette activité. Elle joue un rôle important en informant le public sur les conséquences négatives de cette industrie sur l'environnement et les communautés locales. Après avoir publié un article relatant les agissements des "Mafias du Sable" au Tamil Nadu, elle sera amené à se faire harceler sur les réseaux sociaux.
est une entreprise basée en Inde et est l'un des plus grands producteurs de sable et granulats du pays, principalement utilisé dans l'industrie de la construction. Son fondateur et directeur, S. Vaikundarajan, est souvent accusé d'avoir exploité illégalement des mines de sable et d'avoir causé des dommages environnementaux considérables. L'entreprise argue que cette activité est nécessaire pour répondre à la demande croissante de granulats. Cependant, cette position est souvent critiquée par des groupes de défense de l'environnement, qui soulignent les conséquences néfastes de cette industrie sur l'environnement et les communautés locales. L'entreprise détient d'ailleurs un presque quasi-monopole de l'industrie avec des archives officielles qui montrent que Vaikundarajan détient 53 sur un total de 81 baux pour extraire des minéraux lourds dans l'État du Tamil Nadu.
Économiques : la plupart des pilleurs/pilleuses de sables ne font de l’argent que grâce à cette activité dû au manque de travail dans les pays concernés. «C’est un travail difficile et qui détruit la plage, mais il faut bien manger», résume Maria Odete Furtado Freire.
Opportunités ; La plupart des femmes pratiquants ce métier au Cap-vert font cela pour permettre à leur enfants une meilleure éducation
Écologique : Le Peuple des dunes en Trégor estime que le sable coquillier pourrait être remplacé par du calcaire extrait de carrières terrestres, par des coquilles d’huîtres broyées, de crépidules ou encore de la tangue
Écologique : Les opposants au projet redoutent l'impact de la fine poussière rejetée par le bateau extracteur sur les fonds marins de la réserve, connus pour ses gorgones et ses eaux claires. Ils craignent aussi que la dune ne s'effondre. Celle-ci sert de frayère au lançon, une anguille des sables, dont les oiseaux de mer sont très friands, comme le sont bars et lieux. Le bruit et l'éclairage nocturne pourraient achever de rebuter toute cette faune
Écologique : La CAN désire utiliser ce sable afin de fertiliser les terres agricoles trop acides
Légaux : L’extraction de sable dans ces pays est faite de manière illégale par les trafiquants, c’est donc le travail des policiers de les contrer.
Économique: Les entreprises ont besoin de produire des bâtiments pour pouvoir gagner plus d'argent et la méthode la plus rentable pour avoir du sable en grande quantité est de faire appel à des trafiquants de sable.
Écologique : la morphologie des fonds sous-marins est "modifiée par le creusement de fossés" et "l'aspiration du sédiment provoque la destruction de la faune qui habite sur le fond". Selon Laure Simplet, géologue.
Économique : Leur marché repose essentiellement sur l'exploitation et du traitement de sable.
Économique : La société possède des clients à l'international (Australie, Singapour)
Écologique : La société affirme que le sable de plage est "renouvelable"
Rejet de la faute : La société accuse d'autres firmes d'être la cause des dégâts écologique et parfois humains (décès d'ouvriers)
Sanitaires : Les travaux causent de la pollution dans l'eau des puits les entourants (radioactivités, eai salée), ce qui a comme conséquence de causer des maladies aux habitants.
Environnementaux : L'exploitation cause des dégâts sur les plages (ex : Tamil Nadu).
Soudoiement : Bien que les douaniers inspectent les conteneurs, beaucoup reçoivent de l'argent ou sont invités à dîner.
En résumé, la controverse sur le vol de sable met en évidence les problèmes les plus importants aux niveaux national et international. La protection de l'environnement, la gestion durable des ressources, la lutte contre les activités illégales et la prévention de l'érosion côtière sont autant de préoccupations importantes et mérite d'être plus mis en avant.
Il est essentiel d'établir des politiques nationales fortes pour réglementer l'extraction du sable, punir les contrevenants et promouvoir des pratiques durables. De plus, une coopération internationale est nécessaire pour établir des règles équitables dans le commerce du sable, prévenir la surexploitation des ressources et travailler ensemble pour atteindre les objectifs de développement durable.
D'autres solutions possibles seraient de trouver des matériaux alternatifs à la construction et plus accessibles. Ce débat souligne l'importance de trouver un équilibre entre les besoins économiques et la protection de l'environnement pour assurer un avenir durable aux générations futures.
