Alors que des athlètes féminines présentant plus d’hormones masculines dans le sang que la moyenne atteignent le podium international et obtiennent des résultats impressionnants, la Fédération World Athletics souhaite garantir l’équité des athlètes et impose donc aux athlètes dites hyperandrogènes de suivre un traitement de régulation hormonal pour poursuivre les compétitions féminines.
Dès lors, de nombreux acteurs se positionnent sur cette nouvelle règlementation, dont l’Association Mondiale des Médecins qui proteste contre l’étude menée pour appuyer la théorie du « dopage naturel », jugée non fiable, mais surtout contre le traitement par médication qui pourrait engendrer des effets secondaires néfastes.